Le marché foncier après le Covid-19 : l’offre excédentaire inonde les îles et la côte

Le prix du terrain est resté stable en 2019, à environ 161 euros le mètre carré, Madrid et Barcelone étant au-dessus de la moyenne nationale. (EjePrime)

Le coronavirus a un impact sur les terrains. L’intérêt des investisseurs pour les terrains situés sur les îles et la côte va diminuer après la crise du coronavirus en raison de l’offre excédentaire de produits finis et de terrains sur ces marchés.

En outre, les investisseurs tiennent compte du fait que ces territoires abritent une grande partie des développements destinés aux touristes et aux résidences secondaires, qui devraient devenir moins attractifs en raison des conséquences de l’urgence sanitaire.

L’activité d’investissement foncier dans les grandes capitales comme Madrid et Barcelone, ainsi que dans certaines villes du Pays Basque, de Navarre et de Valence, se poursuivra normalement une fois surmonté l’arrêt forcé par la crise, selon une étude de Cbre.

L’activité d’investissement dans les grandes capitales se poursuivra normalement après la crise

D’autre part, les communautés ou provinces qui ont commencé à être plus actives avant le déclenchement de la crise, comme La Corogne, les Asturies ou Saragosse, pourraient retrouver la tendance après le premier impact du Covid-19.

En 2019, Madrid, les îles et l’arc méditerranéen ont enregistré les prix des terrains les plus élevés. La capitale a fixé son coût moyen à 309 euros par mètre carré, ce qui en fait la zone la plus chère d’Espagne.

Pour leur part, les Baléares et les provinces de Guipúzcua et de Malaga se situaient entre 250 et 300 euros par mètre carré. Biscaye, Barcelone, Las Palmas et Santa Cruz de Tenerife ont enregistré un coût compris entre 200 euros par mètre carré et 250 euros par mètre carré.


Source et suite : EjePrime

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