Uber veut mettre les choses au clair avec les taxis et l’administration publique

Les plaintes venant des chauffeurs de taxis à Madrid et Barcelone n’ont cessé de se multiplier face au succès des licences VTC et à la menace de l’application UberX.

Depuis son arrivée en Espagne en avril 2014, la start-up Uber a très souvent été accusée de concurrence déloyale et plusieurs grèves et saisies de la justice ont demandé la fermeture définitive de la plateforme.

Cette dernière, qui a su s’imposer malgré les obstacles, amène avec elle une véritable révolution du secteur des transports et veut maintenant clarifier les choses quand à son rôle dans le pays.

Au centre des critiques, la start-up américain a annoncé vouloir ouvrir le dialogue avec les conducteurs de taxis et l’administration publique afin que ceux-ci reconnaissent l’avancée technologique dans le secteur.

Des responsables de l’entreprise ont justifié leur intention :

“Nous respectons le droit de manifester du secteur des taxis et nous comprenons l’inquiétude que peuvent avoir certains profesionnels face au nouveau concept de mobilité qui apparaît dans les villes. Nous voulons établir un dialogue constructif avec l’administration publique et le secteur des taxis afin de mettre en place un processus de transition qui convienne à tout le monde.”

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