Mulafest 2013 : les 12 rendez-vous qu’il ne fallait pas manquer

  • Carla Cornu par Carla Cornu
  • il y a 5 mois
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L’art underground était à l’honneur à l’espace IFEMA Feria de Madrid avec la deuxième édition du Mulafest. Artistes urbains, performances de bmx, concerts, Le Courrier d’Espagne était présent sur les lieux pour décortiquer l’essentiel. 1) Les ateliers géants de graffiti Des pans entiers de murs ont été personnalisés par des artistes urbains avec de la peinture aérosol et des marqueurs afin de créer des graffitis, ou plutôt des fresques puisqu’il ne s’agissait pas de vandalisme ce week-end. 2) La réinterprétation des œuvres du Musée Thyssen Bornemisza 8 chefs d’œuvres du célèbre musée madrilène ont été réinterprétées en direct par des artistes jeunes et urbains : Ricardo Cavolo, Sean Mackaoui, Lanacollection, Maillo, Spok, Rocío Cañero, Zuloard et Ruth Gómez. 3) La convention de tatouages Ce qui frappe le plus en arrivant dans l’enceinte du festival, c’est le son ronronnant des aiguilles. Les secrets de cet art étaient dévoilés par des professionnels venus du monde entier et directement appliqués sur des volontaires, pour tous les goûts. 4) Le concours de BMX Skate, rollers mais surtout BMX étaient de la partie. Des disciplines acrobatiques qui se révèlent finalement artistiques dès que le patin décolle pour réaliser de spectaculaires figures. 5) The Summer Area, parties de volley et sable fin Une île artificielle de plus de 1000m2 était dédiée aux activités estivales avec du beach volley, des DJ’s et des transats pour savourer de délicieuses glaces. 6) Pony Bravo, vendredi 28 juin Originaire de Séville, le groupe Pony Bravo est également connu pour son engagement et son action pour favoriser la création et le développement d’activités en rapport avec la culture libre en Andalousie. 7) Austin TV, vendredi 28 juin Incontestables bêtes de scènes, les mexicains d’Austin TV ne croient pas en une quelconque supériorité de l’artiste envers le public. Certes, ils sont sur scènes, mais ils n’hésitent pas à faire monter le public pour les remplacer le temps d’une chanson ou à descendre photographier ceux qui sont restés spectateurs. Dissimulés sous des masques, le groupe revendique le crédo « tu cara no importa, importas tu », ton visage ne compte pas, ce qui compte c’est toi, peu importe le physique, la couleur de peau, la religion, les croyances politiques ou l’orientation sexuelle. 8) The Black Lips, vendredi 28 juin Tête d’affiche du Mulafest, les garçons originaires d’Atlanta n’ont pas failli à leur réputation : son sale, brut et animal, voilà qui étaient leurs intentions. Mention particulière à Bad Kids où leur fougue a conquis un public embrasé. 9) Delorean, vendredi 28 juin Le groupe espagnol a présenté son dernier album, la touche électro pop du festival. 10) Le spectacle de danse polynésienne Un groupe de tatoueurs venus spécialement de Tahiti ont exposé les différentes techniques pour porter le paréo et ont ensuite proposé un spectacle de danse locale. 11) Les motos customisées Amateurs de moteurs rutilants, le Mulafest était le siège international de l’une des finales du Championnat du monde de constructeurs de motos mais aussi l’occasion de découvrir une centaine de motos, parfois même personnalisées. 12) Swan Fyahbwoy, samedi 29 juin Plus connu sous le titre de « chico de fuego », l’artiste a offert des sons jamaïcains, reggae et dancehall.

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