Pour ceux qui ont un peu de capital et hésitent encore entre investir dans un bel appartement à Paris plutôt que dans un hôtel de 140 chambres proche de Malaga, il est encore temps de changer d’avis.
Comme vous le savez, depuis la fin de la crise espagnole, il y a un nombre d’opportunités incroyables dans l’hôtellerie en Espagne.
Tout d’abord, parce que le nombre de touristes explose, il devrait bientôt dépasser le taux français, mais aussi et surtout parce que l’Espagne est en train de devenir la Floride de l’Europe et l’Andalousie, qu’on le veuille ou non, reste la région la plus ensoleillée du continent.
Pour les entrepreneurs hôteliers (ou pas d’ailleurs) il existe de vrais coups de poker à faire en Espagne. Les hôtels bâtis dans les années 80 – 90 cherchent aujourd’hui acquéreurs.
En Espagne plus de 50 % du marché hôtelier est détenu par des familles ou des particuliers qui sont souvent dépassés par le tourisme international et la gestion qu’il requiert.
L’agence francophone jinvestisenespagne.com qui déniche chaque semaine des opportunités d’immeubles et d’hôtels à vendre, souvent off-market, a trouvé deux hôtels dans une ville balnéaire proche de Malaga.
L’un d’eux, composé de plus de 140 chambres, situé à quelques centaines de mètres de la plage, est en vente pour seulement 3,5 millions d’euros. Bâti dans les années 70, il a une superficie supérieure à 2 000 mètres carrés.
Quant au deuxième hôtel, situé dans un quartier résidentiel, il a une superficie de quasi 5 000 mètres carrés répartis sur une dizaine d’étages avec vue sur la mer. Il est aussi proposé à seulement 3,5 millions d’euros.
35 000 euros la chambre à 20 minutes de Malaga peut faire loucher n’importe quel entrepreneur hôtelier, surtout quand on sait que certaines chambres d’hôtel dans le centre de Madrid (certes pour du 5*) se négocient actuellement à plus de 1 million d’euros la chambre.
Malaga reste Malaga et une tour de 10 étages avec vue sur la mer au même prix qu’un appartement de 3 chambres vue sur le voisin à Paris fait quand même réfléchir…
LCE
Crédits photos : andalucia.org